• Jirô Taniguchi

    BD commentées de Jirô Taniguchi:

    - L'orme du Caucase (2004)

    - Le journal de mon père (1999)

    - Un zoo en hiver (2009)

    - Quartier lointain (2002) (à venir)

    - Au temps de Botchan (2002)

    - La montagne magique

    - L'homme qui marche

    - Le sommet des Dieux (6 tomes)

     

    L'orme du Caucase

    de Jirô Tanigushi

    Présentation de l'éditeur

    " Comme s'il repoussait les nuages, l'orme dominait majestueusement, tel un géant attendant tranquillement sa dernière heure. "

    Résumé des quelques nouvelles sur un blog (Ponpokopon):

    - L'orme du Caucase
    Monsieur et Madame Harada ont acheté leur nouvelle maison car elle possédait un jardin hors du commun. Lors de leur aménagement, ils se rendent compte que les propriétaires ont emporté tous les arbustres et ont laissé l'orme encombrant.
    - Le cheval de bois
    Les Kinoshita se voient confier à la dernière minute leur petite fille Hiromi qu'ils ne voient qu'une fois par an. Celle-ci semble aussi gâtée que sa maman.
    - La petite fille à la poupée
    A la lecture du journal annonçant une exposition, Iwasaki se rappelle son premier mariage et son divorce.
    - La vie de mon frère
    Sakamoto s'inquiète pour son frère aîné : veuf et à l'âge de la retraite, celui-ci a décidé de quitter la maison de son fils pour habiter seul dans un hôtel bon marché.
    - Le parapluie
    Voici 12 ans qu'elle n'a plus vu son frère et pourtant ce dernier vient de recontacter Komaki pour lui annoncer sa venue. Elle va enfin pouvoir lui présenter sa petite famille.
    - Les environs du musée
    Tous les soirs, Madame Otami part faire une longue promenade près du musée et cela malgré les remarques inquiètes de ses enfants et de sa petite fille.
    - Dans la forêt
    Après avoir entendu plusieurs nuits de suite un chien aboyer, Hiroshi et Yôji, certains d'avoir reconnu la voix de la chienne dont ils avaient du se séparer lors de leur déménagement, décidèrent d'aller la voir de l'autre côté du bois.
    - Son pays natal
    C'est un beau jour pour Noémie : l'une de ses oeuvres a été retenue pour l'exposition annuelle des Beaux-Arts. Depuis 6 ans et la mort de son mari japonais, elle fait tout son possible pour s'intégrer à son pays d'adoption : le Japon.

     

    --> Toujours en Bande dessinée, c'est un petit recueil de nouvelles:

    Une relecture, 4 ans plus tard, me laisse dans une telle émotion que ce livre devient pour moi un incontournable.

    Je découvre dans la postface (un "essai") qui est Utsumi, fort connu au Japon. Un homme dont la bienveillance transparait dans son oeuvre. C'est bien le cas ici.

    - L'orme du Caucase: un couple déjà âgé achète une maison: celle dans laquelle ils veulent finir leur jours. Ce n'est pas la maison qui les attire mais le jardin, richement et harmonieusement planté. Lorsqu'ils prennnent possession de la maison, toutes les plantes ont été enlevées. Le jardin n'a plus le même charme. Seul reste un vieil orme. Encombrant peut-être, mais majestueux. Très vite les voisins viennent se plaindre des feuilles perdues par l'orme: elles bouchent les goutières, il faut balayer devant sa porte... Le couple qui ne veut pas créer d'ennuis décide de faire abattre l'arbre. Mais une année s'écoule, avec ses saisons. L'orme qui revit est magnifique. Et le précédent propriétaire de la maison leur rend visite.

    L'orme va porter toute la symbolique de la place de la nature dans nos vies. L'orme habitait là avant les hommes. Quel orgueil de ne pas supporter que les feuilles tombent.... C'est une très belle fable.

    J'aime chaque personnage de cette fable: les voisins qui râlent, les propriétaires qui ne veulent surtout pas causer de gêne, et le pouvoir de la nature et de la raison après la floraison. La réplique du jardinier aussi qui avoue qu'il ne souhaitait pas non plus voir abattre cet arbre.

    - Le cheval de bois: Yoshiko élevait seule sa fille Hiromi. Elle souhaite se remarier et le temps de parler de sa nouvelle vie avec son futur époux, elle confie son enfants aux grands-parents pour une durée indéterminée. Ils emmènent leur petite fille au parc d'attractions, l'observent sous toutes les coutures. Elle ne souhaite faire qu'un seul jeu: le cheval. Les grands-parents sont dans l'énigme, sous entendent des explications. Assez rapidement, le nouveau couple vient rechercher l'enfant. La maman sait pourquoi Hiromi ne veut pas monter dans les manèges: elle a peur d'être abandonnée.

    La scène dans le parc d'attraction, c'est une métaphore de la peur de l'abandon, des souvenirs qui laissent des marques en chacun de nous.

    Lecteur, nous échafaudons des explications quant au mutisme de cette petite fille, le jugement vient vite aussi contre cette mère qui semble abandonner son enfant à ses parents (ce qui se fait au Japon?). Et finalement le dénouement apporte une fin d'histoire heureuse et somme toute très banale!

    - La petite fille à la poupée: un graphiste d'une cinquantaine d'année a une vie bien établi, une épouse, 2 enfants, un travail florissant. Un matin comme tous les autres, il découvre une photographie dans le journal qui lui rappelle son "erreur" de jeunesse. Une première femme, un enfant qu'il a trompée(s) et qu'on lui a demandé d'oublier. Sa première fille a désormais 25 ans et va inaugurer une exposition de peinture dans la ville même où il vit. Il annule ses rendez-vous et se rend à la galerie où il achètera un tableau et croisera sa fille qui se réjouit que quelqu'un extérieur à la famille puisse s'intéresser à ses tableaux (...). Il croisera sa première épouse: reconnu ou pas ? Le temps a passé: pas un mot échangé.

    "et sans un mot il inclina profondément la tête"

    Dans cette fable, le père évoque les liens du sang. Il reconnait dans l'art de sa fille une transmission qui ne peut être que celle du sang. Dans cette histoire encore il est question de mémoire et d'oubli. De liens. De non-dits.

    Quelle émotion de voir ce père arpenter la galerie de sa fille, admirer ses peintures. Et ne rien dire.

     - La vie de mon frère: Seizô rend visite à son frère Sakamoto. Ce dernier a décidé de vivre seul, "nomade" dans un hôtel. A 69 ans, est-ce qu'il est raisonnable de vivre ainsi? C'est la question qu'il veut lui poser. Une entrevue, dans le lieu de vie de son frère. Le lecteur se demande finalement qui est le plus raisonnable des deux? Qui est le plus libre?

    "quoi! j'devrais supporter que ce métier de couvreur transmis de génération en génération fasse honte?"

    L'indépendance de Sakamoto nous renvoie à nos choix, à ce qu'on assume, ce qu'on subit, ce qu'on choisit. Il vie dans un lieu simple et épuré. Il n'a pas besoin de beaucoup. Mais il ne se passerait pas de son honneur.

    Le frère de Sakamoto, auquel on s'identifie plus facilement, nous paraît bien fade et triste et nous bouscule un peu!

     - Le parapluie: un frère et une soeur, abandonnés différemment par leur mère vont se revoir à 35 et 33 ans après 12 années passées sans se voir et après 17 ans de séparation. Nous ne savons pas ce qu'ils se diront mais ce jour là il pleut des cordes, comme il y a 12 ans, un jour où ils ont parlé et éclairé leurs vies, du moins celle de Mme Komaki

    "je prends un parapluie"

    Le lien, défaillant ou pas, entre un frère et une soeur. Une fois encore, il est question du temps qui passe.

    Des relations bien compliquées  entre ce frère et cette soeur qui ont subi la séparation de leurs parents de manière bien différente: alors que l'une partait avec sa mère, l'autre restait avec le père. Celui-ci dit des années plus tard s'être obligé à aimer une nouvelle maman alors que la soeur revenue vivre avec eux lui en voudra d'aimer cette maman là. De même le retour de la soeur est vécu par le frère comme le retour insupportable du souvenir de la mère. Toujours beaucoup d'émotions.

    - Les environs du musée: une dame âgée fait un court séjour chez son fils qui insiste pour qu'elle vienne vivre chez lui. Mais elle ne veut pas persuadée que l'intérêt de son fils serait de vendre la maison de sa mère pour acheter une autre maison, et trop attachée à une liberté qu'elle conserve en vivant seule. Elle rencontre un vieux monsieur sur un banc proche du musée et ils observent une ombre faite sur le mur du musée par les feuilles des arbres.

    Les sentiments renouvelés des personnes âgées sont souvent ignorés. Pourtant cette rencontre, avec peu de mots redonne le sourire à cette vieille dame triste.

    La rencontre des ces deux personnages nous donnent forcément le sourire, et la complicité devinée du vieil homme avec sa petite fille renforce ce sentiment. Comme c'est bon à lire!

    - Dans la forêt : Hiroshi et Yôji ont déménagé dans un appartement, abandonnant leur chienne Koro. Leur mère ne dit pas ce qu'elle a fait du chien. Lorsque chaque nuit ils entendents un aboiement, ils en sont sûrs, Koro doit être de l'autre côté de la ville, par delà la forêt.

    --> Les sentiments du grand frère pour son petite frère vont apparaitre plutôt ambigüs pendant leur expédition. Le chien retrouvé - ce  n'est pas le leur - il préfère cacher certaines vérités.

    Ce grand frère porte toute la sagesse et la maturité des plus âgés devant ce petit frère qu'il jalouse pourtant un peu.

    - Son pays natal: une française se marie à un japonais et part vivre au Japon. Son intégration y est difficile, et lorsqu le destin tragique entraîne la mort de son époux, la Française se retrouve bien seule.

    --> Peut-on aimer à en perdre racine?

    Quelle difficulté pour cette jeune française de se faire accepter par sa belle-famille avec a barrière de la langue et la barrière culturelle. Son jeune mari meurt prématurément et lors des obsèques, la jeune Noémie comprend bien qu'elle incarne une sorte de malédiction aux yeux de la belle-famille. Malgré cela elle reste et s'intègre à son nouveau pays, faisant des prouesses artistiques. Quelle plaisir d'assister à la fin de la nouvelle au pardon demandé par la belle-mère à sa belle-fille, quel chemin parcouru l'une vers l'autre pour se comprendre, s'accepter: c'est pour tout ça que j'aime cette bande dessinée.

     

    --> L'orme du Caucase, ce sont des chemins de pardons, d'acceptations, de tolérances, de compréhensions face à la différence, face à la difficulté, face à la vie ou la mort. C'est une oeuvre vibrante et vivante. Je l'emporterai sur une île déserte.

     

    Le journal de mon père

    de Jirô Tanigushi

    Présentation de l'éditeur

     

    Moi qui n'étais pas revenu dans ma ville natale depuis plus de dix ans, je découvrais peu à peu de facettes de mon père qui m'étaient inconnues. Je prenais conscience du fossé que j'avais creusé pour échapper à tout dialogue avec lui.
     

     

    Biographie de l'auteur

    Jirô Taniguchi est né le 12 août 1947 à Tottori. Il débute dans la bande dessinée en 1970 avec Un été desséché. De 1976 à 1979, il publie, avec le scénariste Natsuo Sekikawa, Ville sans défense, Le Vent d'Ouest est blanc et Lindo 3. Puis ils s'attaquent, toujours ensemble, aux cinq volumes que comte Au temps de Botchan (deux volumes parus en français au Seuil). A partir de 1991, Jirô Taniguchi signe seul ses albums : L'Homme qui marche, Le Chien Blanco, et Le Journal de mon père. Le premier volume de Quartier Lointain (chez Casterman) a remporté, lors du festival d'Angoulême 2003, l'Alph'Art du meilleur scénario. Il a également reçu le prix Canal BD des librairies spécialisées.

     

    --> Simpliste ou dépouillé? Les Bandes dessinées de Tanigushi se lisent vite. Proche du manga, le dessin est simple. Les dialogues sont à l'image des dessins.

    Ici, un homme découvre qui était son père lors de la veillée des morts. Victime d'une enfance dans le non-dit, des morceaux de son histoire s'éclairent à la lumière des témoignages de ceux qui sont venus dire un dernier au revoir à son père.

    Il s'arrête dans sa fuite en avant, comprend. Des faits qui nous font comprendre le personnage. Ce qu'il a été, ce qu'il est devenu. Une histoire somme toute banale.

     

    Jirô Taniguchi

    de Jirô Taniguchi

    Présentation de l'éditeur

     

    Kyôto, 1966. Le jeune Hamaguchi travaille chez un fabriquant de textile. Mais lassé de ne pouvoir y assouvir sa passion pour le dessin, il démissionne et part pour Tôkyô. Il y découvre, en même temps qu'un studio de mangas qui lui donne sa chance, la vie nocturne et les milieux artistiques de la capitale. Mais le travail d'assistant mangaka est éreintant et Hamaguchi comprend vite qu'on y trouve difficilement le temps et l'énergie pour se consacrer à des oeuvres personnelles. Pour la première fois, Jirô Taniguchi se remémore ses débuts de mangaka et sa jeunesse dans le Tôkyô des années 1960. Un magnifique récit d'apprentissage, où toute la finesse et l'élégance de l'auteur sont réunies pour illustrer les premiers émois de l'âge adulte.
     

     

    Biographie de l'auteur

    Jirô Taniguchi est né en 1947 à Tottori. Il débute dans la bande dessinée en 1970 avec Un été désséché. De 1976 à 1979, il publie notamment, avec le scénariste Natsuo Sekikawa, les cinq volumes d'Au temps de Botchan. A partir de 1991, Jirô Taniguchi signe seul de nombreux albums, dont L'Homme qui marche, Le Journal de mon père, Dans un ciel radieux, et plus récemment, Le Gourmet solitaire et Le Promeneur, en collaboration avec Masayuki Kusumi. Le premier volume de Quartier lointain, qui a remporté lors du Festival d'Angoulême 2003 l'Alph'Art du meilleur scénario, a également reçu le prix Canal BD des librairies spécialisées. Une adaptation cinématographique de cette oeuvre est en cours en France.

    --> Récit d'initiation dans lequel l'auteur semble raconter son histoire. On retrouve toujours la délicatesse du dessin et des faits. Les snetiments sont distillés mais forts. C'est le tome de Tanigushi que j'ai le moins aimé pour le moment.

     

    Jirô Taniguchi

     

    Présentation de l'éditeur

    Japon 1905. An 37 de l'ère Meiji. Natsume Soseki, l'un des plus grands écrivains japonais modernes, se coupe les ongles au soleil de la véranda de sa maison bucolique, pendant qu'un petit chaton noir se promène entre ses jambes. De retour d'Angleterre et passablement déprimé, Soseki se lance dans l'écriture de son œuvre majeure et jubilatoire : le célébrissime Botchan. C'est le point de départ choisi par le dessinateur Jiro Taniguchi et l'écrivain Natsuo Sekikawa pour dresser un panorama de la société japonaise, à travers les intellectuels et la littérature de cette époque. Au temps de Botchan est une gigantesque fresque romanesque qui couvre près de 1500 pages. Le temps semble s'y écouler paisiblement au moment même où le Japon, déjà fasciné par l'Occident, s'apprête à rentrer dans la modernité.
     

    Quatrième de couverture

    Japon 1905. An 37 de l'ère Meiji. Natsume Soseki, l'un des plus grands écrivains japonais modernes, se coupe les ongles au soleil de la véranda de sa maison bucolique, pendant qu'un petit chaton noir se promène entre ses jambes. De retour d'Angleterre et passablement déprimé, Soseki se lance dans l'écriture de son oeuvre majeure et jubilatoire : le célébrissime Botchan. C'est le point de départ choisi par le dessinateur Jiro Taniguchi et l'écrivain Natsuo Sekikawa pour dresser un panorama de la société japonaise, à travers les intellectuels et la littérature de cette époque. Au temps de Botchanest une gigantesque fresque romanesque qui couvre près de 1500 pages. Le temps semble s'y écouler paisiblement au moment même où le lapon, déjà fasciné par l'Occident, s'apprête à rentrer dans la modernité.

    Souvent comparé au cinéaste Ozu, Jiro Taniguchi est considéré comme l'un des pères de la manga d'auteur. Unanimement reconnu au lapon, Au temps de Botchan est son oeuvre la plus importante. Avec le romancier Natsuo Sekikawa, ils ont créé la première manga littéraire de l'histoire de la bande dessinée.

    --> Ce manga est une approche littéraire de l'histoire du Japon. Je n'en ai lu que la moitié, mais il a eu le mérite de m'apporter des informations et de susciter ma curiosité sur le Japon des années 1900.

    Jirô Taniguchi

    --> Dans un musée, une salamandre qui voudrait sortir qui va s'adresser à un enfant. L'enfant qui espère la guérison de sa mère, répond à la demande de la salamandre en échange de la guérison de sa maman.

    C'est un Taniguchi qui m'a beaucoup déçu. Peut-être que je n'était pas réceptive au moment où je l'ai lu. Je ne retrouve pas la poésie de ces autres livres, l'histoire, sorte de parabole est bien légère et même sans intérêt... je suis passée à côté!

    Jirô Taniguchi

    Qui prend encore le temps, aujourd'hui, de grimper à un arbre, en pleine ville ? D'observer les oiseaux, ou de jouer dans les flaques d'eau après la pluie ? D'aller jusqu'à la mer pour lui rendre un coquillage dont on ne sait comment il est arrivé chez soi ? L'homme qui marche, que l'on apprend à connaître à travers ses balades, souvent muettes et solitaires, rencontre parfois un autre promeneur avec qui partager, en silence, le bonheur de déambuler au hasard.
    La réédition, très attendue, de la première oeuvre de Taniguchi publiée par Casterman en 1995. Une histoire inédite, prépubliée dans la revue BANG! en juillet 2003, viendra compléter cet album.

    --> Je suis passé à côté. J'ai contemplé les dessins, j'ai aimé l'idée. Prendre son temps, en dire peu. Mais des nouvelles trop courtes et redondantes à mon goût m'ont donné l'impression d'une répétition trop longue. Les dessins restent magnifiques, mais sortant de la lecture de l'orme du caucase (dessiné par Tanigushi, mis en scène par Utsumi), j'ai trouvé l'homme qui marche bien fade. Dommage.

     

    Jirô Taniguchi

    Un manga à vous couper le souffle ! Dans une petite boutique népalaise, Fukamachi tombe sur un appareil photo qui pourrait bien être celui de George Mallory, le célèbre alpiniste qui fut le premier à essayer de vaincre l'Everest. Mallory disparût avec Andrew Irvine, lors de cette ascension en 1924, sans que l'on puisse savoir s'ils sont parvenus au sommet. Et si c'était seulement lors du chemin du retour qu'ils avaient eu cet accident fatal ? Cela changerait l'histoire de l'alpinisme ! C'est sur cette passionnante question que s'ouvre le chemin initiatique de Fukamachi qui sera amené à faire la rencontre de figures hautes en couleurs. Le dépassement de soi, l'aventure, la passion de la montagne sont les leitmotivs de cette formidable aventure signée Jirô Taniguchi !

     


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