• L'étranger

    L'étranger

    Jacques Ferrandez

    Le jour où sa mère est morte, Meursault a remarqué qu’il faisait très chaud dans l’autobus qui le menait d’Alger à l’asile de vieillards, et il s’est assoupi. Plus tard, dans la chambre mortuaire, il a apprécié le café que lui offrait le concierge, a eu envie de fumer, a été gêné par la violente lumière des lampes électriques. Et c’est avec une conscience aiguë du soleil qui l’aveugle et le brûle que l’employé de bureau calme et réservé va commettre un acte irréparable.
    Camus présente un homme insaisissable amené à commettre un crime et qui assiste, indifférent, à son procès et à sa condamnation à mort.

    --> Cette adaptation respecte le texte initial. Quel défi de mettre en image un homme aussi ... particulier que Meursault (tourmenté? ou tourmenteur? !!) Cela semble un pari réussi. Bravo.

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