• Le grand sommeil

     Le grand sommeil

    de Raymond Chandler, traduit par Boris Vian

    L'honorable général Sternwood a des ennuis avec ses filles. Vivian, l'aînée, boit sec et perd beaucoup d'argent dans les salles de jeux. La cadette, Carmen, est nymphomane. Un libraire, Geiger, fait chanter le général au sujet des dettes de Vivian. Excédé, le riche vieillard fait appel au privé Philip Marlowe. En visitant la librairie de Geiger, le détective voit Carmen entrer chez lui. Trois coups de feu claquent. Dans une pièce aménagée en studio photo, il découvre la jeune fille nue et droguée, le maître chanteur mort à ses pieds.

    Dans ce chef-d'oeuvre du roman noir, Philip Marlowe, qui deviendra l'archétype du détective privé, apparaît pour la première fois. Son enquête contient une critique féroce de la corruption et de ceux qui en vivent. À travers Marlowe, c'est Chandler qui porte un regard sans concession sur la riche société californienne, un milieu dominé par des êtres dégénérés ou corrompus. L'adaptation cinématographique d'Howard Hawks, avec Humphrey Bogart et Lauren Bacall, est également un classique du genre. --Claude Mesplède

    --> La lecture du grand sommeil m'a demandé un effort de lecture. Je ne suis pas entrée dans l'intrigue, peut-être un peu trop complexe? ou beaucoup de détails? En revanche, j'ai été séduite par les descriptions de l'auteur, la manière de créer une ambiance. Il était aisé de s'imaginer chaque scène. On plonge littéralement dans une Amérique des années 30. C'est un récit structuré, qui me donne envie d'en lire d'autres du même auteur.


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