• Loin des yeux, près du coeur

    de Thierry Lenain

    Présentation de l'éditeur

    Loin des yeux, près du coeur: Aïssata et moi, nous nous donnions la main. Moi qui étais aveugle, je lui apprenais à écouter le pas des gens, le chant des oiseaux. Elle qui était noire m'enseignait les couleurs : le bleu, c'est comme l'océan quand tu es devant...

    La fille de nulle part: Avant, Pablo ne s'intéressait qu'aux extraterrestres. Il ne savait pas que l'amour ne prévenait pas avant de frapper. Aujourd'hui, il pense à Mila. Elle portait en elle tant de mystère...

    --> La première nouvelle est une belle histoire d'amitié: la différence, la tolérance, la découverte de l'autre. Elle est noire, il est aveugle et apprennent beaucoup l'un de l'autre.


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  • La cité des Jarres

    de Arnaldur Indridason

    Présentation de l'éditeur

     

    Un nouveau cadavre est retrouvé à Reykjavik. L'inspecteur Erlendur est de mauvaise humeur : encore un de ces meurtres typiquement islandais, un " truc bête et méchant "
    qui fait perdre son temps à la police... Des photos pornographiques retrouvées chez la victime révèlent une affaire vieille de quarante ans. Et le conduisent tout droit à la " cité des Jarres ", une abominable collection de bocaux renfermant des organes...
     

     

    Biographie de l'auteur

    Né en Islande en 1961, Arnaldur Indridason a accompli un coup de maître avec son premier roman policier, déjà traduit en plus de vingt langues.

    --> J'avais déjà lu La femme en vert, du même auteur. Pour découvrir le personnage d'Erlendur, il est préférable de commencer par la cité des Jarres. Là, connaissant déjà son portrait, j'ai toruvé ses traits ennuyeux alors que son portrait valorise pourtant le récit.

    J'ai trouvé La femme en vert insoutenable. J'ai trouvé beaucoup plus supportable La cité des Jarres.

    L'atmosphère islandaise y est très intéressante: le climat, la pénombre, et aussi les distances géographiques. J'ai revu des lieux, chose plus difficile dans La femme en vert, où l'on reste cantonné aux hauteurs de Reykjavik et la péninsule de Reikjane (dans mon souvenir).

    Un roman bien dosé. Une histoire de génôme humain et d'hérédité, et puis aussi de secret.


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  • La mémoire des murs

    de Tatiana de Rosnay

    L’appartement correspondait exactement à ce que Pascaline, une informaticienne de 40 ans, imaginait pour sa nouvelle vie de femme divorcée, sans enfants. Un deux-pièces calme et clair qui donne sur une rue animée.
    Mais à peine installée, Pascaline apprend par une voisine qu’un drame s’est déroulé dans ces lieux. Comment vivre dans des murs marqués par l’horreur ? Comment continuer à dormir là comme si de rien était ? Et pourquoi Pascaline ne cesse-t-elle d’y penser ?
    Lentement mais sûrement, par touches infimes, cette tragédie fera ressurgir chez Pascaline une ancienne douleur, une fragilité secrète restée trop longtemps enfouie. Seule face à la mémoire des murs, elle devra affronter son passé.

    Dans ce sixième roman, Tatiana de Rosnay explore avec lucidité l’univers noir de l’obsession, ses vertiges et ses abîmes.

    --> Pas de surprise dans l'écriture: c'est Tatiana de Rosnay, mais c'est celui que j'ai le moins apprécié. L'obsession de Pascaline est ennuyeuse. Elle ne m'a pas touchée. Un côté pressentiment qui ne me parle pas.


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