• Camus-Casares

    Camus-Casres: 1944, prélude à l'amour

    Autant en emporte l'histoire - Stéphanie Ducan - France Inter - Le dimanche à 21h00

     Une fiction historique qui met en scène un personnage, connu ou pas, réel ou fictif, pris dans la tourmente d’un épisode de l’Histoire (de l’Antiquité à 1945).

     

    L'actrice Maria Casarès a rencontré Albert Camus pendant la Seconde Guerre mondiale, à Paris. La fiction écrite par Jean-Benoît Patricot relate les premiers moments de leur histoire. L'invité de Stéphanie Duncan est Alban Cerisier, directeur des fonds patrimoniaux aux Éditions Gallimard.

    Le 30 décembre 1959, du sud de la France, Albert écrivait à Maria, restée à Paris : 

    Dernière lettre. Je téléphonerai à mon arrivée. Mais on pourrait convenir déjà de dîner ensemble mardi. Disons… en principe… pour faire la part des hasards de la route .

    Une lettre aux accents prophétiques puisque, cinq jours plus tard, Albert Camus trouvait la mort, à 46 ans, dans un accident de voiture. Et mettait ainsi un terme à son idylle avec la comédienne Maria Casarès.

    Leur histoire, mélange d’amour sensuel et de complicité artistique, avait débuté quinze ans plus tôt. En 1944 à Paris. Époque dangereuse de l’Occupation… Époque paradoxale aussi, où à côté des déportations de Juifs et de résistants, il y a des écrivains pour écrire des pièces, des théâtres pour les monter et des comédiens pour les jouer…  Albert Camus, le futur grand éditorialiste de la Libération et futur Prix Nobel, n’est encore qu’un jeune écrivain prometteur, à peine débarqué de son Alger natale… Elle, Maria Casarès, fille de républicains espagnols, n’a que 21 ans, mais tous voient déjà en elle la future tragédienne, incandescente et moderne.

    Ils se rencontrent un soir de printemps 1944. Ils sont beaux, seuls, exilés tous les deux. C’est la guerre. Il est urgent de s’aimer et de vivre. C’est l’histoire de cette idylle que je vais raconter ce soir.

    --> Camus et Casares ont en commun l'exil. Ils se rencontrent dans l'appartement de Michel Leiris pour une lecture à voix haute en l'honneur de Max Jacob, mort à Drancy., mais Maria Casares s'y ennuie terriblement. Elle jouera plus tard un texte de Camus: l'intrigue du malentendu. L'émoi est partagé entre les deux personnages. Bien que marié, Camus accepte les avance de Casares, le temps de la guerre. Il n'a pas revu sa femme qui est à Oran depuis plus de 2 ans.


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  • Casque d'or

    1902 Casque d'or, la reine des Apaches

    Autant en emporte l'histoire - Stéphanie Ducan - France Inter - Le dimanche à 21h00

     Une fiction historique qui met en scène un personnage, connu ou pas, réel ou fictif, pris dans la tourmente d’un épisode de l’Histoire (de l’Antiquité à 1945).

    La fiction de Patric Nottret, réalisée par Laurence Courtois, raconte la véritable histoire de Casque d'Or, dans les quartiers pauvres de Paris à la Belle Époque. Stéphanie Duncan reçoit l'historien Dominique Kalifa, spécialiste de l’histoire du crime de toute cette période.

    C’est dans le Paris de la Belle Époque que nous partons ce soir… pas celui des beaux quartiers, des soirées à l’Opéra, ou des promenades au Bois de Boulogne… non, celui, plus rude, de l’Est parisien : Belleville, Ménilmontant ou Charonne...

    Dans ces faubourgs où vit et travaille le petit peuple de Paris, ouvriers, blanchisseuses, chiffonniers, vendeurs ambulants… Mais aussi : voyous et prostituées.

    Il est rare que ces gens de peu, comme on disait, accèdent à la notoriété publique. C’est pourtant ce qui arrive en 1902 : la presse parisienne tout à coup ne parle que d’eux : les Apaches ! C’est ainsi qu’elle surnomme les bandes de faquins à poignard, de rôdeurs de barrière, qui tuent, volent et sèment la terreur dans Paris.

    Une histoire violente qui prendra même des accents tragiques, quand Manda et Leca, chefs de bande et souteneurs, s’entretueront pour la belle Amélie Élie : sans doute la seule pierreuse à avoir atteint l’immortalité… sous le nom de Casque d’Or.   

     

    --> IIIème République, pas de hausse particulière du crime, mais les Apaches font cependant la une des journaux.


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  • 17 août 1661: la nuit fatale de Nicolas Fouquet

     

    Autant en emporte l'histoire - Stéphanie Ducan - France Inter - Le dimanche à 21h00

     

    Une fiction historique qui met en scène un personnage, connu ou pas, réel ou fictif, pris dans la tourmente d’un épisode de l’Histoire (de l’Antiquité à 1945).

    Le surintendant du roi Louis XIV, Nicolas Fouquet, a connu un singulier destin, décrit par l'auteur Jean-Benoît Patricot et le réalisateur Benjamin Abitan ; une fiction commentée par l'historien Jean-Christian Petitfils, spécialiste des 17e et 18e siècles en France, invité par Stéphanie Duncan.

    À quoi pouvait penser Nicolas Fouquet, pendant les vingt ans qu’il vécut, emprisonné dans la sinistre forteresse de Pignerol ? Sans doute à cette nuit du 17 août 1661 où sa vie bascula...

     

    Comment n’avait-il pas vu venir sa chute ? Mais cette fête dans son château de Vaux, après tout, ne fut peut-être qu’un rêve ou un enchantement ? 

    Ce soir-là, Fouquet, le surintendant du roi, était si fier, si sûr de lui, en descendant les marches de son château pour accueillir Louis XIV et la cour.  Les jardins, les jeux d’eau, la musique de Lully, les vers de Molière et de La Fontaine… Fouquet avait fait appel aux plus grands artistes, avait tout mis en œuvre, jusqu’au moindre détail des ballets et des feux d’artifices… Des chariots entiers de meubles, de tapisseries, de linge et de vaisselle d’argent avaient été apportés…. La fête à Vaux, ce soir-là, devait être somptueuse, surprenante, unique, pour éblouir la Cour et honorer Louis XIV.

    Mais aussi pour convaincre le jeune souverain que lui, Nicolas Fouquet, était le bras droit dont il ne pouvait se passer. Ce même jeune souverain qui, trois semaines plus tard, allait ordonner son arrestation…  C’est donc cette nuit qui allait sceller le destin de Fouquet, que je vais raconter ce soir.

    --> Nicolas Fouquet vit-il au dessus de ses moyens, veut-il trop épater? il n'a peur de rien et le récit de cette soirée montre un homme qui n'entend pas les mises en garde que ses amis lui font. Des ennemis, il n'en manque pas. Dernière réception avant sa chute, avant son arrestation.


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  • Marcel Duchamp

    New-York, 1915, Marcel Duchamp révolutionne l'art

    Autant en emporte l'histoire - Stéphanie Ducan - France Inter - Le dimanche à 21h00

    Une fiction historique qui met en scène un personnage, connu ou pas, réel ou fictif, pris dans la tourmente d’un épisode de l’Histoire (de l’Antiquité à 1945).

    Marcel Duchamp, incompris par les critiques d'art en France, s'est exilé aux États-Unis dès 1913, où il a enfin rencontré son public. Cet épisode de sa vie qui concerne aussi toute l'Histoire de l'Art nous est narré à travers la fiction de Camille Azaïs, une fiction commentée par l'historien Bernard Marcadé.

    Marcel Duchamp, l’artiste qui, dès 1913, eut la drôle d’idée d’exposer une roue de bicyclette posée sur un tabouret de cuisine…  Ou un porte-bouteilles vides acheté dans un grand magasin…

     

    À New-York, Duchamp poussera l’audace jusqu’à proposer à un salon d’artiste un urinoir en porcelaine… Comment ! Un objet aussi trivial élevé au rang d’œuvre d’art ! Est-ce un coup de génie ou une blague de potache ? Toujours est-il que l’urinoir, dont l’original a depuis longtemps disparu, est aujourd’hui pour beaucoup « l’œuvre d‘art la plus influente du XXe siècle ».

    Depuis, sans doute malgré lui, l’artiste Duchamp a été enfermé sous le label intellectuel, conceptuel. Et pourtant, si l’art est bien une chose mentale, il est aussi affaire de corps, de rencontres, d’époques. L’histoire que je vais raconter ce soir a des faux airs de Jules et Jim : Marcel Duchamp, Francis Picabia et Gabrielle Buffet… Un trio amoureux et fantasque, en quête d’autre chose. 

    Une histoire aussi assez immorale : Pendant qu’en France, la grand-mère s’occupe des gosses et qu’à Verdun les poilus meurent dans les tranchées, Gabrielle, Francis et Marcel, eux, font la bringue à New York et réinventent l’art. 

     

     

    --> Autour de Marcel Duchamp ( 1887-1968) gravite Picabia le maniaco dépressif, deux figures mêlées. Ils fuient la guerre aux Etats-Unis, l'un pour insuffisance cardiaque. L'autre en se soustrayant à ses obligations militaires à Cuba.

    Duchamp ne vit pas réellement de son art, ne passe pas de contrat, il jouit plutôt d'un succès presque malgré lui, organise des expositions, vit de l'art sans grands besoins financiers. Il jouit de la vie tout court. Les Etats-Unis le sortiront de l'ombre, ce que Paris n'avait pas su faire: trop d'artiste à Paris? Aujourd'hui, c'est à Philadelphie qu'on peut voir le plus grand nombre de ses oeuvres.

    Gabrielle Buffet-Picabia est l'épouse du second, deviendra après son divorce sa maîtresse, mais le guide bien avant, telle une muse.


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    Réalisé par Didier Le Pêcheur (2014)
    Avec Mathilde Seigner, Marc Lavoine, Virginie Hocq

     

    La petite mercière d’Arras découvre qu’elle a gagné 18 millions à la loterie. Elle n’a qu’une crainte : que son bonheur tourne au drame...

    --> Dans la suite des films "adaptation littéraire sur grand écran": le roman adapté de Grégoire Delacourt. Une adaptation réussie: j'y a trouvé le même début lent. En revanche la sorte de nonchalance de Mathilde Seigner ne correspond pas à l'image plus souriante de Jocelyne que je m'étais forgée. Il n'en reste pas moins que c'est plutôt agréable de reconvoquer cette histoire. Comment réagirions-nous en gagnant des millions au loto?

    Ici Jocelyne décide de ne pas en parler, ou du moins lorsqu'elle décide de le faire, elle repousse le moment. Elle donne ce sentiment de ne vouloir rien changer. Pourtant l'argent est là, sur un chèque et rien que ça... ça change. On s'en rend compte que elle découvre que le chèque a disparu. Ce n'est pas seulement le chèque qui a disparu, mais son mari avec: une grande trahison....

     


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  • Coline Promeyrat

    Dans son bateau en coquille de noix, monsieur Zouglouglou accueille la souris, la reinette, le lapin et le chat. Oui mais voilà ! Dans une noix, il n'y a pas tant de place que cela !
    Coline Promeyrat a écrit avec beaucoup de vivacité cette histoire chavirante, conte répandu surtout dans le bassin méditerranéen. Stefany Devaux a farfouillé dans ses tiroirs pour trouver les mille et une matières (papiers, cartons, feutrines, tissus...) qui composent ses paysages et personnages...

    --> C'est un conte de randonnée que j'ai lu des dizaines de fois à des groupes d'enfants de classes maternelle avec toujours à la clé un gros succès. J'ai réussi à ne pas m'en lasser. ça ne peut être qu'un album très réussi! Par ailleurs l'éditeur a eu la bonne idée de l'imprimer en grand format carton: il n'a plus quitté mon sac de professionnelle. (accompagné de véritable noix!) A lire pour le récit, simplement, à lire pour créer inspiré des illustrations.


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  • La couleur des émotions

    Anna Llenas

    Le monstre des couleurs se sent tout barbouillé aujourd'hui. Ses émotions sont sens dessus dessous ! Il ne comprend pas ce qui lui arrive. Réussira-t-il à mettre de l'ordre dans son cœur et à retrouver son équilibre ?
    Un livre tout animé pour découvrir ses émotions.

    --> Ce n'est pas facile de poser de mettre en mots les émotions. A l'image du film animé Vice Versa, cet album met des mots sur les émotions. On débute l'album avec nos émotions toutes mélangées, un monstre gribouillé. C'est un peu comme ça qu'on peut parfois démarrer la journée... et on apprend à y voir plus clair entre la colère, la tristesse, la sérénité... L'auteur pose des couleurs différentes pour distinguer les émotions. Superbe album pour aborder ce sujet de manière très positive. Un coup de coeur. A noter qu'il existe en version pop up ou pas. Je préfère la version non pop up.


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  • De tes nouvelles

    d'Agnes Ledig

    Anna-Nina, pétillante et légère, est une petite fille en forme de trait d'union. Entre Eric, son père, et Valentine, qui les a accueillis quelques mois plus tôt par un soir d'orage et détresse. maintenant qu'Eric et Anna-Nina sont revenus chez Valentine, une famille se construite jour après jour, au rythme des saisons. Un grain de sable pourrait cependant enrayer les rouages de cet avenir harmonieux et longtemps désiré.

    --> Les histoires d'Agnés Ledig sont -très- chargées de bons sentiments. Comme pour son précédent roman lu : jusqu'à l'overdose. J'aurai eu enive d'écrire qu'on retrouve avec délectation ses personnages : Valentine, Eric, Anna Lilla, Gustave. On retrouve l'odeur des tartines, des confitures, de la terre modelée, des promenades en forêt, des cabanes et des repas sains. Mais trop de petites métaphores tuent le récit, alimentent l'écriture en rendant l'ensemble assez indigeste. On est pourtant heureux (le mot est choisi) d'évoluer avec Eric qui ressort ses guitares, dit au revoir à Hélène après 7 ans de deuil, d'accompagner de manière thérapeutique le régime de Gaël et accueillir Sébastien et Yann, son père, intrigant bûcheron. Thérapeutique voilà... c'est peut-être ce que se veut -trop- ce livre. Place à la parole : c'est bien. Mais à toutes les pages, plusieurs fois par page, le livre en devient même moralisant, trop parfait. Chaque personnage est parfait : jusqu'à la gestion de l'attaque cardiaque de Gustave ou la confusion des sentiments de Valentine entre ce que son corps crie et ce que sa conscience lui dicte. Alors si Juste avant le bonheur avait été une magnifique découverte, rester avec les mêmes formules au fil des romans de l'auteur ne me convient plus, cela m'est devenu d'une certaine manière indigeste. L'histoire a un goût suranné, too much. Dommage : car ce sont des livres qui peuvent faire du bien. Par ailleurs, j'arrive toujours à la fin sans difficulté. Alors... un avis mitigé!

     


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  • Dans la forêt

    de Jean Hegland

    Rien n’est plus comme avant : le monde tel qu’on le connaît semble avoir vacillé, plus d’éléctricité ni d’essence, les trains et les avions ne circulent plus. Des rumeurs courent, les gens fuient. Nell et Eva, dix-sept et dix-huit ans, vivent depuis toujours dans leur maison familiale, au cœur de la forêt. Quand la civilisation s’effondre et que leurs parents disparaissent, elles demeurent seules, bien décidées à survivre. Il leur reste, toujours vivantes, leurs passions de la danse et de la lecture, mais face à l’inconnu, il va falloir apprendre à grandir autrement, à se battre et à faire confiance à la forêt qui les entoure, emplie d’inépuisables richesses.

    Considéré depuis sa sortie comme un véritable choc littéraire aux Etats-Unis, Dans la forêt, roman sensuel et puissant, met en scène deux jeunes femmes qui entraînent le lecteur vers une vie nouvelle.

    Traduit de l'américain par Josette Chicheportiche

    --> Le thème de la pénurie d'énergie est sciemment choisi. La narration passe du présent (la rédaction d'une journal par Nell) à des flashbacks qui permettent de comprendre comment les deux sœurs en sont arrivées là. On aurait pu aller droit au but : sans électricité, sans essence, des jeunes filles accomplissent un retour à la nature choisi et s'épanouissent. Non, l'auteur fait le choix d'une histoire à suspens, où ce retour à la nature est loin d'être d'emblée une évidence. Les sœurs vont faire front à des changements de vie dramatiques. Leur relation accomplit une sorte « yoyo » passionnant. La psychologie de ces deux sœurs est intéressante (l'une est passionnée de danse et dansera longtemps au rythme d'un métronome, l'autre se cultive, lit l'encyclopédie lettre après lettre et rêve d'entrer à Havard). A découvrir.

    Citations:

    - Depuis que tout a commencé, nous avons attendu d'être sauvées, attendu comme de stupides princesses que nos vies légitimes nous soient rendues. Mais nous n'avons fait que nous berner nous-mêmes, que jouer un autre conte de fées.

    - Quand je pense à la façon dont nous vivions, à la désinvolture avec laquelle nous usions les choses, je suis à la fois atterrée et pleine de nostalgie.

    - Eva est en train de mourir, et l’encyclopédie parle d’insticnt. Même maintenant il faut qu’elle fasse de longs discours, posés, pédants, distants, réduisant le monde à des faits – mais sans livrer les connaissances dont j’ai besoin pour sauver la vie de ma soeur. Qu’est-ce que l’encyclopédie sait de l’instinct?
    L’instinct est plus vieux que le papier, plus naturel que les mots. L’instinct est plus sage que n’importe quel article sur les trois étapes de l’accouchement, que n’importe quel article sur les interventions obstétricales. Mais d’où vient l’instinct? Et où est-ce que je peux le trouver en ce moment, après avoir vécu sans lui pendant si longtemps?

    - Petit à petit, la forêt que je parcours devient mienne, non parce que je la possède, mais parce que je finis par la connaître. Je la vois différemment maintenant. Je commence à saisir sa diversité – dans la forme des feuilles, l’organisation des pétales, le million de nuances de vert. Je commence à comprendre sa logique et à percevoir son mystère. 

    - Il y a une lucidité qui nous vient parfois dans ces moments là, quand on se surprend à regarder le monde à travers ses larmes, comme si elles servaient de lentilles pour rendre plus net ce que l'on regarde.

    - Mais j'ai appris quelque chose que l'encyclopédie ne sait pas — quand la lune est croissante, on peut l'atteindre et tenir délicatement sa courbe externe dans la paume de la main droite. Quand elle est décroissante, elle remplit la paume de la main gauche.


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  • Point break 1991

    Réalisé par Kathryn Bigelow (1991)
     
    Avec Patrick Swayze, Keanu Reeves, Gary Busey

     

    Johnny est un agent du FBI aux trousses d'un fameux gang de braqueurs. Il découvre que ce sont des surfeurs, il doit alors infiltrer leur milieu.

    --> Le jeune agent du FBI Johnny Utha rejoins le vieux briscard Papass .Ils enquêtent sur une bande de 4 braqueurs nommés « Les anciens Présidents »  (menés par Bodhi) en raison des masques qu'ils utilisent lors de leurs braquages de banques répétés.Toujours rapides, 90 secondes, ils n'ont jamais été attrapés. Une certitude pourtant : ce sont des surfeurs. L'agent Utha infiltre le milieu du surf. Film culte sur le surf, son way of life.

     


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  • de Laetitia Colombani

    Trois femmes, trois vies, trois continents. Une même soif de liberté.

    Inde. Smita est une Intouchable. Elle rêve de voir sa fille échapper à sa condition misérable et entrer à l’école.

    Sicile. Giulia travaille dans l’atelier de son père. Lorsqu’il est victime d’un accident, elle découvre que l’entreprise familiale est ruinée.

    Canada. Sarah, avocate réputée, va être promue à la tête de son cabinet quand elle apprend qu’elle est gravement malade.

    Liées sans le savoir par ce qu’elles ont de plus intime et de plus singulier, Smita, Giulia et Sarah refusent le sort qui leur est destiné et décident de se battre. Vibrantes d’humanité, leurs histoires tissent une tresse d’espoir et de solidarité.

    -->Ce sont les histoires parallèles de Smita l'Indienne, Giulia la Sicilienne et Sarah la Canadienne, volontairement entrecroisées par l'auteure. Chacun d'elle vit un sursis, l'une fuit avec sa fille la caste des intouchables, l'autre subit l'attaque d'un cancer du sein tandis que la troisième dans le deuil de son père reprend l'entreprise familiale du père vouée à la faillite. Un fil, un cheveu, des cheveux relient le destin de ces trois femmes que l'auteure entremêle. Ecrit au présent, la syntaxe courte, on n'a pas vraiment le temps de respirer : ces femmes nous emportent dans le feu de leur vie, dans leurs décisions vitales, rapides et on lit le roman rapidement d'un bout à l'autre.

     

    Spoiler : Sarah coiffera une perruque fabriqué avec des cheveux authentiques en Sicile avec des cheveux importés d'Inde.

     

     

    → Ces sont les histoires parallèles de Smita l'Indienne, Giulia la Sicilienne et Sarah la Canadienne, volontairement entrecroisées par l'auteure. Chacun d'elle vit un sursis, l'une fuit avec sa fille la caste des intouchables, l'autre subit l'attaque d'un cancer du sein tandis que la troisième dans le deuil de son père reprend l'entreprise familiale du père vouée à la faillite. Un fil, un cheveu, des cheveux relient le destin de ces trois femmes que l'auteure entremêle. Ecrit au présent, la syntaxe courte, on n'a pas vraiment le temps de respirer : ces femmes nous emportent dans le feu de leur vie, dans leurs décisions vitales, rapides et on lit le roman rapidement d'un bout à l'autre.

     

    Spoiler : Sarah coiffera une perruque fabriqué avec des cheveux authentiques en Sicile avec des cheveux importés d'Inde.

     

    → Ces sont les histoires parallèles de Smita l'Indienne, Giulia la Sicilienne et Sarah la Canadienne, volontairement entrecroisées par l'auteure. Chacun d'elle vit un sursis, l'une fuit avec sa fille la caste des intouchables, l'autre subit l'attaque d'un cancer du sein tandis que la troisième dans le deuil de son père reprend l'entreprise familiale du père vouée à la faillite. Un fil, un cheveu, des cheveux relient le destin de ces trois femmes que l'auteure entremêle. Ecrit au présent, la syntaxe courte, on n'a pas vraiment le temps de respirer : ces femmes nous emportent dans le feu de leur vie, dans leurs décisions vitales, rapides et on lit le roman rapidement d'un bout à l'autre.

     

    Spoiler : Sarah coiffera une perruque fabriqué avec des cheveux authentiques en Sicile avec des cheveux importés d'Inde.

     


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